Les Cités de l’emploi permettent aux territoires engagés dans la démarche, d’améliorer le repérage et le raccrochage des demandeurs d’emploi au sein des Quartiers prioritaires Politique de la Ville (QPV).
Une ambition : réunir les acteurs locaux de l’emploi pour proposer aux personnes qui en sont les plus éloignées, un accompagnement sur mesure
Leur objectif est de « réunir autour d’une même table, agents du service public de l’emploi, responsables associatifs et chefs d’entreprise pour aller vers les demandeurs d’emploi des QPV, particulièrement ceux qui sont les plus éloignés et leur proposer un accompagnement sur-mesure ».
Cette dynamique permet de mobiliser et de coordonner les différents dispositifs de droit commun, en complémentarité avec des dispositifs exceptionnels déployés dans le cadre du plan France relance, ainsi que dans la Stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté.
Ces cités de l’emploi peuvent être déployées au niveau d’une ville ou sur un périmètre plus resserré à l’échelle d’un quartier. Pour chaque labellisation, une enveloppe de 100 000 euros par Cité de l’emploi et par an est allouée.
60 nouvelles Cités de l’emploi labellisées, dont 12 en Hauts-de-France
Une instruction du 12 mai 2021, invitait les préfets de département à proposer des territoires pour implanter de nouvelles Cités de l’emploi. A l’occasion du Comité interministériel des villes du samedi 10 juillet 2021, le Premier ministre Jean Castex a détaillé la liste de ces 60 nouvelles implantations.
En Hauts-de-France, aux Cités de l’emploi déjà précédemment labellisées de Maubeuge et de Valenciennes, viennent s’ajouter celles :
- d’Amiens Métropole,
- de Beauvais,
- de Creil,
- de la CU d’Arras,
- de Calais,
- de la CA du cœur d’Ostrevent,
- de Fourmies, d’Hirson, de le Quesnoy,
- de la CA du Pays de Saint-Omer,
- de la CA de la Porte du Hainaut,
- de Lille,
- de Roubaix
- et de Saint-Quentin.
